Vous connaissiez Buffy , tueuse de vampires ? Et bien je vous présente Jack Brooks, tueur de monstre. Une bobine réalisée par Jon Knautz avec deux pauvres petits millions de dollars mais surtout beaucoup d'amour pour le cinéma d'exploitation des années 80. Le zone 2 français est déjà dans les bacs depuis le mois dernier, Ecranbis.com se devait de rattraper son impardonnable retard. C'est désormais chose faite !
Synopsis :
Synopsis :
Jack est un jeune plombier dont la famille s'est fait décimer par un monstre dans sa jeunesse. Alors qu'il aide le Dr. Crowley à réparer sa tuyauterie, un démon se réveille dans la maison et ne tarde pas à prendre possession du docteur. Jack devra alors lutter contre sa colère, combattre le démon, affronter des créatures meurtrières libérées et enfin venger sa famille.
Critique :
Si Jack Brooks , tueur de monstre est d'abord un premier long métrage . Celui de Jon Knaultz. Il est surtout une véritable déclaration d'amour au cinéma des années 80. Un véritable film à l'ancienne. Si vous attendiez un déluge d'images de synthèses et autres miracles numériques, passez votre route. Knaultz a décidé de donner vie à ses monstres grâce aux prothèses, au latex et aux maquillages. Et comme si cela ne suffisait pas , il est allé chercher une figure du cinéma horrifique des années 80, l'inoubliable interprète de Freddy Kruger dans les Griffes de la nuit de Wes Craven: Robert Englund. Et le moins que l'on puisse dire c'est que ce dernier crève l'écran au point vampiriser le film entier.
De l'autre côté du ring , Jack Brooks, jeune plombier à la colère incontrôlable n'est bien sûr pas sans rappeler le « Ash » de Evil dead, voir le « Furious » de Mysterymen , le tout saupoudré d'un zeste de Bufy contre les vampires. Certes les carences budgétaires de la chose se voient à l'écran et Knaultz s'embourbe un peu dans son exposition ( Planter le décors , c'est bien Jon ! Mais planter du monstre c'est mieux). Heureusement papy Englund porte la première heure de « Jack Brooks » à bout de bras. Et au final , ce qu'on retiendra de ce « Jack Brooks » c'est surtout une dernière demi heure aussi retro que réjouissante.
Certains verront dans ces quelques 80 minutes, un trip régressif pour cinéphile resté bloqué dans les années VHS, d'autres une incursion trop parodique dans le genre. Reste que ce « Jack Brooks » est véritable bouffée d'air frais dans une marché de la vidéo saturé de « torture porn » filmés avec les pieds et de Slasher du dimanche. Fun, irrévérencieux, parfois un peu crado, Jack Brooks mérite une place dans vos étagères DVD de cinévores déviants !
Critique :
Si Jack Brooks , tueur de monstre est d'abord un premier long métrage . Celui de Jon Knaultz. Il est surtout une véritable déclaration d'amour au cinéma des années 80. Un véritable film à l'ancienne. Si vous attendiez un déluge d'images de synthèses et autres miracles numériques, passez votre route. Knaultz a décidé de donner vie à ses monstres grâce aux prothèses, au latex et aux maquillages. Et comme si cela ne suffisait pas , il est allé chercher une figure du cinéma horrifique des années 80, l'inoubliable interprète de Freddy Kruger dans les Griffes de la nuit de Wes Craven: Robert Englund. Et le moins que l'on puisse dire c'est que ce dernier crève l'écran au point vampiriser le film entier.
De l'autre côté du ring , Jack Brooks, jeune plombier à la colère incontrôlable n'est bien sûr pas sans rappeler le « Ash » de Evil dead, voir le « Furious » de Mysterymen , le tout saupoudré d'un zeste de Bufy contre les vampires. Certes les carences budgétaires de la chose se voient à l'écran et Knaultz s'embourbe un peu dans son exposition ( Planter le décors , c'est bien Jon ! Mais planter du monstre c'est mieux). Heureusement papy Englund porte la première heure de « Jack Brooks » à bout de bras. Et au final , ce qu'on retiendra de ce « Jack Brooks » c'est surtout une dernière demi heure aussi retro que réjouissante.
Certains verront dans ces quelques 80 minutes, un trip régressif pour cinéphile resté bloqué dans les années VHS, d'autres une incursion trop parodique dans le genre. Reste que ce « Jack Brooks » est véritable bouffée d'air frais dans une marché de la vidéo saturé de « torture porn » filmés avec les pieds et de Slasher du dimanche. Fun, irrévérencieux, parfois un peu crado, Jack Brooks mérite une place dans vos étagères DVD de cinévores déviants !
Test technique :
L'éditeur français Emylia s'est fendu d'une chouette édition zone 2 qui délivre une image sans faille au format 1.85. Pas moins de trois pistes audio aux mixages convaincants attendent le Dvdvore. Une DD5.1 Française, une DD5.1 Anglais et enfin une DTS anglaise. Rayon Bonus : la galette embarque le court métrage « Game of the dead » déjà présent sur plusieurs DVD de l'éditeur et des goodies Rom. Une édition donc soignée pour découvrir un B- Movie jusqu'ici inédit en France.
L'éditeur français Emylia s'est fendu d'une chouette édition zone 2 qui délivre une image sans faille au format 1.85. Pas moins de trois pistes audio aux mixages convaincants attendent le Dvdvore. Une DD5.1 Française, une DD5.1 Anglais et enfin une DTS anglaise. Rayon Bonus : la galette embarque le court métrage « Game of the dead » déjà présent sur plusieurs DVD de l'éditeur et des goodies Rom. Une édition donc soignée pour découvrir un B- Movie jusqu'ici inédit en France.
Un B movie qui le fait !
Robert Englund inside !
Des effets spéciaux à l'ancienne.
Des effets spéciaux à l'ancienne.
Une exposition un peu longue