MegaPiranha : 5 DVD offerts sur Ecranbis


Bonne nouvelles pour les cinéphiles déviants et les amateurs de gros Z qui tache,  pour la sortie du déjà culte  MegaPiranha en DVD, Blu-Ray et VOD , l' éditeur français Emylia offre 5 exemplaires du film en DVD* aux lecteurs d'Ecranbis.com. Pas de questions qui fâchent, ni de jeu ou de mauvais concours entre nous , il suffit d'envoyer  un courrier électronique à l'adresse : Ecranbis [at] gmail.com portant le sujet « Megapiranha » et mentionnant une adresse postale en France métropolitaine  valide. Vous avez jusqu'au 1 décembre Minuit   …Mais je vous conseille de ne pas trop trainer. Dans quelques jours vous découvrirez un test complet de cette galette "made in Asylum" dans ces colonnes numériques. @ Très vite pour de nouveaux bons plans !

(*) à titre d'échantillon promotionnel gratuit.

[Preview] Kill Joy 3

Ce n'est pas une découverte , Charles Band a de la suite dans les idées. Le réalisateur/ producteur américain est bien connu des cinéphiles déviants pour exploiter ses franchises jusqu'à la moelle. (Puppet Master, Ghoulies, Trancers...). Bonne ou mauvaise nouvelle, je vous laisse choisir votre camp, le clown démoniaque de Killjoy rempile fort logiquement pour une troisième aventure. La réalisation a cette fois échoué dans les mains de John Lechago , auteur du pas très emballant Bloodgnome. En attendant qu'un éditeur mette les mains sur les droits pour la France, L'Ecranbis vous propose un avant goût de la dernière clownerie de Full Moon... Et en vidéo s'il vous plait !

Hydra : The Lost Island





Synopsis : Tom Nolan , un ex marine et trois autres détenus sont conduits en secret sur une île déserte. Ils doivent servir de gibier à quelques hommes richissimes. Ils ignorent tous que l'île en question abrite une autre menace : une hydre , dangereuse créature mythologique. Ils vont devoir affronter le plus redoutable prédateur que la nature ait jamais engendré...


Terreur sur l'île de l'horreur...


Critique: A l'instar de Nu Image ou UFO Film , la compagnie américaine Cinetel puise sans complexe dans le bestiaire fantastique pour alimenter les linéaires de vidéoclubs et les programme de deuxième partie de soirée. Dans Hydra , The lost Island d' Andrew Prendergast c'est la mythologie grecque qui régale. Ou plus exactement , l'Hydre de Lerne, créature à multiples têtes et à corps de dragon qu'Hercule affronte dans ses 12 travaux. La particularité de l'hydre est sa capacité de régénération céphalique, comprenez que la demoiselle n'est pas du genre à perdre la tête facilement. Même lorsque c 'est beau marines qui lui la coupe, Histoire de noyer le poisson et sans doute limiter un peu de trop couteuses apparitions de la créature, Prendergast dépose son Hydre sur une île perdue. Théàtre de cruelles chasses à l'homme organisé pour des milliardaires.


La fameuse Hydre en image de synthèses...



Tournée pour 700 000 malheureux dollars , cette bande dessinée cinématographique porte comme beaucoup de production Cinetel , les stigmates de son budget et de son rythme de production. Difficile de ne pas sourire lors des apparitions numériques de la bestiole ou même lors de l'improbable final ou apparaît comme un cheveu sur la soupe , l'épée d'Hercule. Bien plus étonnant que la présence d'une ile perdu en 2009, Hydra parvient en dépit de ses faiblesses à ne jamais véritablement prendre l'eau voir même à susciter un certain intérêt ( moqueur certes ) chez le cinéphile déviant. Ce qui tout sauf une constante avec ce genre de « production cinéma à la chaine ».



Un acteur médusé par sa propre performance ? 

Test Technique: L'éditeur du DVD français s'est fendu d'une copie sans défaut au format 1:77. Mais du côté des pistes sonores, il faudra se contenter d'une pauvre VF en stéréo. Aucun bonus en vue , le pauvre menu du disque ne laisse qu'un seul et unique choix : Lancer le film. Mais au fond,  le matériel présenté se révèle amplement suffisant pour découvrir ces quelques 90 minutes hautement bis  mêlant survival et film de monstres.


Un menu minimal...


Année: 2008
Réalisateur : Andrew Prendergast
Production : Cinétel
Avec : Frank Alvaez, George Stults, Texas Battle
Edition/distri DVD: Opening /Sony Pictures home vidéo
Durée: 94 mn


Les sorties DVD de la semaine






Oyé braves internautes ! L'écran bis fait le point sur les sorties DVD de la semaine. Avec pour commencer la sortie attendue de Megapiranha de Eric Forsberg (Alien Abduction). Une nouvelle production décomplexée de « The Asylum » destinée à surfer sur le succès du récent « Piranha 3D » d'Alexandre Aja. Au programme des poissons carnivores géants et 92 minutes de plaisir coupable pour cinéphiles déviants . La galette éditée en DVD et Blu-Ray par Emylia contiendra un bétisier, un court métrage et une pluie de bonus Rom. Disponible le 23 novembre.

Toujours chez Emylia ,Résurrection de Matt Zettel (titre orginal : Resurrection County) cause de camping sauvage . Mais ici pas de marche des tongs ou de soirée au Shogun. Les animations prévues par les habitants du comté de Résurrection seront elles aux goûts de nos campeurs ?  Réponse le 23 novembre en DVD et Blu-Ray.
 

Le même jour chez Elephant Films , l'Irlande sera à l'honneur avec « Carnage - Blood Hunt » (plus connu sous le nom de "The legend of the Bog » )de Brendan Foley. Une sombre histoire de chasseurs, de marécage et de créature par forcement très accueillante. Disponible le jour dit en Blu-Ray et DVD


Le remake de The Wizard of Gore" d'Herschell Gordon Lewis sort lui aussi le 23 novembre chez Elephant sous le titre  « 
Le Sorcier Macabre ».Réalisé en 2007 , le film de Jéremy Kasten traine une bonne réputation derrière lui. On y retrouve même le très sympathique Crispin Glover ( Retour vers le futur, alice au pays des merveilles) et Brad Dourif Himself. Elephant annonce ce mardi la sortie d'une galette comportant pas mal de bonus. On a hâte !


Pour terminer en beauté la sélection des sorties de la semaine, sachez que Seven 7 se fendra d'une édition DVD et Blu-Ray de « Shoot » (Don't look up)  dont le synopsis «Lors du tournage d’un film d’horreur médiéval dans un pays de l’Europe de l’Est, un réalisateur américain voit la fiction qu’il filme devenir réalité » laisse rêveur. Et également de Killing Room (the Killing Room) dont la notation sur l'IMDB et la bande annonce que nous avons visionné sur le DVD de Carny nous mis l'eau à la bouche.

Vidéocast : CARNY en DVD



Une mystérieuse créature, échappée d’un cirque ambulant, terrorise la petite ville de Reliance, dans le Nebraska. Le shérif Sam Atlas est bientôt dépassé face aux attaques multiples laissant ca et là des corps mutilés, à moitié dévorés. Face à l’animal démoniaque et assoiffé de sang, la riposte s’organise…


Destiné à alimenter la grille de "Sci Fi Channel" et la collection Manheater, Carny de Sheldon Wilson a eu cet automne l'honneur d'une édition DVD française  chez l'éditeur Seven 7. Au programme, une variation sur la légende  du Diable de Jersey ...Sur fond de fête foraine ambulante. C'est donc sur une double thématique que Sheldon Wilson, réalisateur du sympathique "Kaw" et du moins glorieux "Planète Hurlante 2 , s'est aventuré embarquant au passage Lou  Diamond Phillips. (Star des années 80 avec "La Bamba", poursuivant sa carri��re dans le cinéma d'exploitation.) De toute évidence , Carny est d'abord une produit télévisuel de commande. Wilson ballait donc assez rapidement   les thématique pourtant intéressantes du Freakshow Forain,  du mystère sur l'origine de la créature voir du fanatisme religieux (qu'il effleure )   pour accoucher d'un  film de  monstre  des plus basiques. Ce désintéressement  , Wilson le compense par une réalisation  et une direction d'acteur soignées , éléments qui font doit on l'avouer , souvent défaut à ce type de production télévisuel. Pour ne rien gâcher les apparitions ( essentiellement numérique) de la créature tiennent la route.

Alors  Bien sûr la magnifique Jaquette du film nous laissait espérer un film plus sombre, plus mystérieux  et plus gore , reste que Carny  se place  sans aucun problème dans le dessus du panier des films réalisés pour "Sci Fi Channel " et accède même au titre de  B movie tout à fait fréquentable.


Du côté de la galette argentée de Seven 7, pas l'ombre d'un Bonus si ce n'est la présence des quelques bandes annonces. On regrettera également l'absence d'une piste VO.











Space Opera : Panique dans l'espace...




En 1979, Georges Lucas renouvelle le Space Opera avec « La Guerre des étoiles » . Le succès du film est mondial et les épopées spatiales de seconde zone vont donc logiquement se bousculer au portillon. Si , la profusion d'effet spéciaux , costumes , décors qui s'inscrivent dans les codes du genre vont rendre la tache ardue pour les génies du cinéma de quartier et certainement limiter les ambitions de bien des producteurs , il serait faux de penser que le Space opera fut boudé par le cinéma d'exploitation.


Dans l'après Star wars, les grands studios hollywoodiens vont tous tenter de rebondir avec plus ou moins de bonheur sur le renouveau spatial que cela soit sur grand ou petit écran. La Paramount lance la production d'une longue série de films dérivés de la série Star Trek. Star Trek the movie sort sur les écran en 1979. La série Galactica est diffusée dès septembre 78 sur la chaine américaine ABC. Un an et quelques jours plus tard, Buck Rogers débarque sur NBC. Du côté de chez Disney , le « black Hole »(le Trou noir) est mis en chantier. Il sortira sur les écrans américain pour noël de l'année 79. Dino de Laurenti produit de son côté un remake de Flash Gordon et même l'agent 007 sera envoyé en orbite en dans Moonraker. (1979)



Star Crash que Luigi Cozzi réalise en 1977 est considéré aujourd'hui encore comme un des plus fameux rip off de Star Wars. Pourtant StarCrash est visuellement bien plus proche de la science fiction des années 50 et 60 que du films de Lucas dont il emprunte tout de même quelques trouvailles dont les duels au sabre laser. Il faut dire qu'au moment où on lui confie la réalisation d'un film surfant sur le succès de la guerre des étoiles, ce dernier n'était pas encore sorti sur les écrans européens. Cozzi dans l'impossibilité de visionner le film est obligé de se rabattre sur le livre . Véritable bonbon kitsh pour les yeux , Star Crash est aujourd'hui l'objet d'un véritable culte chez les amateurs de cinéma bis. Il existe en France un Star Crash 2 sous titré les évadées de la galaxie 3 . Il s'agit en fait d'une astuce commerciale derrière laquelle se cache Giochi erotici nella 3a galassia que Bitto Albertini réalise en 1981 en empruntant quelques séquences d'effets spéciaux à Star Crash. Hormis ces emprunts , les deux films n'ont pas à proprement parler de lien.


Le japon nous livrera en 1978 « Uchu kara no messeji» de Kinji Fukasaku. Les américains connaissent le film sous le nom de « Message from space ». En France il fut exploité sous le titre de « les évadés de l'espace ». Ce Star Wars japonais est aujourd'hui surtout connu pour avoir engendré une série télévisée à succès : San Ku Kaï dont le générique français, improbable, composé par Eric Charden et Didier Barvelivien ont traumatisé des dizaines de milliers d'enfants dans l'hexagone. Un autre film japonais est souvent cité comme étant un enfant de star wars. Il s'agit de « Wakusei daisenso » titré en France « la bataille de l'espace ». Ce métrage fut en fait produit dans l'urgence par la Toho en 1977 dans l'espoir de devancer le succès de la guerre des étoiles.


On parle aussi d' « Alerte dans le cosmos » ( The Shape of Things to Come) production canadienne de 1979 ou cachetonnent Jack Palence et John Barry , rescapé de la série Space: 1999 .


«The humanoid» que réalise Aldo Lado  sous le ronflant pseudonyme de George Lewis en 1979 est en quelque sorte l’autre star war italien. Enzo Castellari dirige la seconde équipe , Antonio Margheriti est lui chargé des effets spéciaux sous son nom d’emprunt habituel Antony M. Dawson. Notons au passage que ce dernier recyclera quelques costumes de cet Humanoide dans son «Il mondo di yor» ( Yor le chasseur du futur). De l’autre côté de la camera , on retrouve la française Corinne Clery que l’on a connu moins habillée dans Histoire d’o, Richard Kiel le géant au dent d’acier de James Bond et l’éternelle Barbara Bach. Si Cozzi avait extrapolé son Star Crash à partir d’un simple livre, Aldo Lado a lui  vu et certainement revu le Star wars de  Lucas. L’humanoide ne nous épargne pour ainsi dire rien: Sous Dark vador , combat stellaire, planète désertique, petit robot roulant et malicieux ( Le robot chien ). A vrai dire le moindre plan transpire l’univers de la guerre des étoiles. Le film tombe pourtant à  plat et ce n’est pas la bande originale  d’Ennio Moriconne , qui signe ici un des pires scores de sa carrière qui arrange les affaires d’Aldo Aldo. Reste que les personnages de Barbara et Tom Tom sont étonnamment annonciateurs du tandem Amidala / Anakin de l’épisode 1 de la nouvelle trilogie star wars. Lucas aurait jeté un oeil sur the humanoid ?


En 1979 toujours, mais en France sortent 2 longs métrages « Galactica, la bataille de l'espace » et « Galactica: les cylons attaquent ». Il ne s'agit que de remontage d'épisodes de la série originale Galactica qui n'est alors pas encore diffusée à la télévision française. Exploité en 1981 , « La conquête de la terre » est lui aussi un remontage d'épisode mais cette fois de la série Galactica 1980, laquelle souffre encore aujourd'hui d'une très mauvaise réputation auprès des fans. Notons que les séquences d'effets spéciaux de Galactica furent ré-utilisées 10 ans plus pour caviardé un certain « Space Mutiny ».


Galaxina qui sort lui sur les écrans américains en 1980 et entraine le space opera vers le terrain de la parodie. Il met en scène une androide sexy. portant le nom de Galaxina interprété par Dorothy Stratten. Cette ex playmate au destin tragique (elle décèdera la même année à l'age de 20 ans) avait fait quelques mois auparavant une apparition dans la série « Buck Rogers » dans le rôle de Miss Cosmos ! Tourné sans grands moyens, Galaxina jouit aujourd' hui d'une certaine réputation chez les fans de Science fiction vintage.



Roger Corman s'offrira sa space operette en 1981 . « Battle Beyond the star » même si il s'inspire fortement des sept mercenaires, est avant tout un clone de la guerre des étoiles dans lequel il puise situations , costumes, personnages, effets de transition et même parfois séquences entières... Difficile de ne pas voir en Cowboy campé par George Peppard un ersatz de Han Solo ou en Richard Thomas un Marc Hammil du pauvre. Battle Beyond the star fut sans doute l'un des productions les plus couteuses de Roger Corman. Pas particulièrement avare en effets spéciaux, maquettes et painting mate, les mercenaire de l'espace ( son titre français) est aussi une formidable galerie de gueules du cinéma d'exploitation puisque l'on y retrouve : John Saxon , Robert Vaughn , Sybil Danning . Une partie des effets spéciaux du film furent réutilisés dans une autre production spatiale de Roger Corman : « Space Raiders » (1983) restée inédite en France. Le très honorable score signé James Horner fut lui aussi l'objet d'un recyclage dans Raptor, un sous Jurrasik Park que Corman produit en 2001.


The Last Starfighter (1984) de Nick Castle , véritable petit bijou SF des années 80 est sans aucun doute l'un des derniers enfant directe de star wars. De fait , le film puise également dans Star Trek, Buck Rogers ou autre Galactica. Il est aussi le premier film de l'histoire a usé de CGI (computer Generated Images ) pour la réalisation de ses effets spéciaux. Avec SpaceBalls ( la folle histoire de l'espace) réalisé par Mel Brooks en 1987 signe une parodie appuyée de l'univers star wars à laquelle repondra « Galaxy quest » dix ans plus tard en singeant les codes de Star trek.

Vidéocast : Le chien des Baskerville

L'histoire :

Un esprit menaçant se cache dans les landes désolées qui entourent les falaises d’Angleterre. Sous la forme d’un sanguinaire chien sauvage, il se nourrit de la chair tremblante des héritiers du sinistre Sir Hugo de Baskerville. Mais avant de s’attaquer au nouveau Lord du manoir, la bête devra se jouer de l’ennemi le plus puissant qu’elle ait jamais affronté : Sherlock Holmes !

La critique :
C'est en 1959 , la même année que « La malédiction des pharaon » que Terence Fisher accouche d'un adaptation relativement libre de l'œuvre de d' Arthur Conan Doyle : « Le chien des Baskerville » (The Hound of the Baskervilles). Il embarque dans son casting deux figures immanquables du cinéma fantastique de l'époque : Peter Cushing ( qui incarne Sherlock Holms » ) et l 'inégalable Christopher Lee.(pour une fois dans le rôle d'une victime : Sir Henry).

Le chien des Baskerville devait être le premier film d'une série d'adaptations cinématographiques en couleur des aventures de Sherlock Holms. L'époque étant aux films de monstres divers et variés, il n'en sera rien mais le métrage est considéré de façon quasi unanime comme un classique du cinéma d'horreur et une des meilleurs production de la prestigieuse firme anglaise : Hammer. Pourtant «le  Chien de Baskerville » de Fisher tout comme le roman éponyme de Doyle est bien plus une enquête policière menée par le legendaire Holms qu'un véritable récit d'horrifique. La réalisation typique des productions d'horreur de l'époque , les scènes noctures, brouillards et autres éclairages colorés finissent cependant par l'emporter sur le récit lui même. The hound of the baskervilles est donc un film esthétiquement fantastique . Cinquante plus tard ,en dépit d'une intrigue usée jusque à la moelle par une vingtaine d'adaptations cinématographiques , Le Chien de Baskerville de Fisher se visionne avec un plaisir coupable, celui de voir Christopher Lee et Peter Cushing évoluer dans un univers graphique propre aux production de la Hammer...Et celui découvrir ou redécouvrir la première apparition colorisé de Sherlock Holms sur Grand écran.


Pour :
- Un classique
- L'esthétique des films horrifique de la Hammer
- Lee et Cushing


Le dvd :
MGM ZONE 2 

 

Bon plan: Le village des ombres

A l'occasion de la sortie nationale  du Village des Ombres, Distrib Films et Ecranbis.com sont heureux de vous offrir 5 lots composés du carnet collector du film , d'une affichette dédicacée et de deux  places de cinéma pour découvrir ce conte fantastique "Made in France" en salle dès le 17 novembre prochain.


L'opéraion est terminé. Vous avez été nombreux à participer.

Nadia M.  De Suresnes
Anaïs B. de Paris
Julien P. de Sceaux
Laurence C.  de CAVEIRAC
Jacob K de Le pecq sur scène


recevront prochainement de la part de Distrib Film : une affichette dedicadée, un carnet et deux places cinéma 

@ très vite pour de nouveaux bons plans sur Ecranbis.com